Selon les organisateurs de la Route du Rhum-Destination Guadeloupe, il y avait dans la nuit de dimanche à lundi 10 000 personnes pour accueillir Loïc Peyron sur la place de la Victoire à Pointe à Pitre. Une marée humaine, que vous pouvez vérifiez sur les photos et qui pourrait bien se répéter lors de l'arrivée du premier skipper guadeloupéen.
Aux alentours d'une heure du matin, dans la nuit de lundi à mardi, une collision entre un véhicule et une moto a fait un mort sur la route de Versailles à Petit-Bourg. Un jeune homme de 27 ans qui a succombéà ses blessures. Le conducteur de la voiture très choqué a été pris en charge par les secours.
Autre accident
Un peu plus tôt dans la soirée, aux environs de 23h, aux "mangles"à Petit-Canal, un accident entre deux véhicules a fait deux blessés. Les victimes dans un état grave, ont été médicalisées (...)
La Chambre de Commerce et d'Industrie de la Martinique appelle au dialogue dans le conflit qui paralyse la livraison de véhicules sur le port depuis plusieurs semaines. En effet, selon l'institution cette grève peut provoquer des conséquences importantes sur l'économie de notre île.
Pour rappel depuis plusieurs semaines des ouvriers dockers mènent un mouvement social qui perturbe la livraison des voitures neuves sur le Port de Fort-de-France. Dans un communiqué la CCI rappelle que "les véhicules à décharger sont destinés en majorité aux loueurs de voitures et à des opérateurs du BTP. Il s'agit de leurs outils de travail. La situation économique et de l'emploi de notre île ne nous permet pas de subir davantage cette grève qui pénalise l'activité et l'emploi dans ces secteurs d'activités."
Hélène Eugénie Hildéral a été retrouvée en bonne santé ce mercredi matin (12 novembre 2014) aux alentours de 7 heures à la zone de la Jambette au Lamentin. Elle a été prise en charge par les secours et transférée à l'hôpital Pierre Zobda Quitman. C'est sur le signalement d'un témoin que la police a retrouvé la quadragénaire qui était recherchée depuis le 4 novembre 2014.
- Martinique / Faits divers, a_la_uneUne délégation de l'Agence de Santé, conduite par son Directeur Général, Patrice Richard, se rend à la Désirade ce mercredi.
Si en Guadeloupe continentale, un rendez-vous médical nécessite, parfois plusieurs jours d'attentes (semaines, mois...), imaginez les difficultés rencontrées par les populations insulaires de notre archipel. Aussi, l'ARS, accompagnée du Rectorat, du Conseil Général, de la CGSS, du CHU, du Collectif Inter associatif du Système de Santé (CISS),et de l'Observatoire Régional de Santé (ORSAG) a décidé d'organiser une visite à la Désirade.
Asseoir tout le monde à la même table
L'idée est de nourrir un débat avec la population, sur les problèmes d'accès à la prévention et aux soins rencontrés par les désiradiens. L'accès aux soins sera au centre des discussions, mais également les transports sanitaires, la santé des jeunes et celle des aînés seront également évoqués.
Le but de ces échanges et réflexions est de pouvoir trouver collectivement les réponses aux problèmes posés pour la mise en place d'un plan d'actions. Une opération qui selon nos informations devraient également se dessiner ultérieurement du côtés de Terre de haut et de terre de bas.
Durant la grève de février 2009, une des revendications de la rue portait sur le tarif de l'eau en Martinique. Notre département est celui qui a la palme nationale dans ce domaine. Chez nous, le prix moyen du mètre cube d'eau est de 2.61€ contre 1.94€ en Guadeloupe et 1.51€ dans l'hexagone.
En 2010, un audit avait été mené par les ministères de l'écologie et de l'agriculture sur l'eau en Martinique et le rapport mettait en évidence la vétusté du réseau et du rendement médiocre voire très mauvais des installations... ce qui entraînait des coûts importants pour les consommateurs ! Cet audit proposait donc en conclusion de créer une autorité unique de production, de transport, de distribution de l'eau en Martinique.
Comment passer de 5 maîtres d'ouvrages à un seul d'ici la fin de l'année ? Comment harmoniser et surtout freiner l'augmentation du prix de l'eau sur l'ensemble du territoire ? voilà les problématiques auxquelles se heurtent nos élus.
Depuis près de 3 ans ces derniers planchent sur ce dossier avec l'espoir d'en arriver à bout pour le début de l'année 2015.Tous les organismes en charge de la gestion de l'eau n'ont pas le même poids, la même qualité de réseau et... ne pratiquent pas les mêmes tarifs.
En clair, le SICSM, le Syndicat Intercommunal du Centre et du sur regroupe 16 communes et propose l'eau à2.93 euros, le SCNA, le Syndicat Communal du Nord Atlantique compte lui 8 communes et propose le mètre cube à3.09 euros. Pour les habitants des 5 communes de la CACEM et de sa régie Odyssi le mètre cube d'eau coutera 2.85euros. Le SCCNO, sur la côte caraïbe nord-ouest propose l'eau à2.87 euros. Enfin, la commune du Morne-Rouge, qui est relativement isolée propose le mètre cube d'eau à3.25 euros.
Les disparités qui ne s'arrêtent pas là puisqu'elles se poursuivent au niveau de la déperdition de l'eau sur les réseaux. Entre le SICSM et ses 70% de rendement et Odyssi et ses 40% de rendement, on ne parle pas le même langage au niveau des investissements.
Au sein de la commission départementale intercommunale on essaye d'aplanir ces différences, mais ce n'est pas chose facile. Tous sont favorables à cette autorité unique, mais il faut encore accorder les violons sur les questions de gouvernance, de statut, de périmètre, de compétence et de calendrier.
Face aux désaccords, les discussions ont même été interrompues en septembre 2013 pour ne reprendre qu'en juin 2014. Le processus a été réactivé mais les consultations de leur côté doivent reprendre.
Pour l'heure, certains responsables se sont déjà fait entendre, comme le président du SICSM Gilbert Eustache. Selon ce dernier que nous avons joint il est "impensable d'espérer un arrêté préfectoral pour la création du syndicat unique de l'eau pour janvier 2015 comme le prévoit le calendrier." Toujours selon lui "il faut attendre la mise en place effective de la collectivité unique et encore 2 à 3 ans avant de lancer l'autorité unique de l'eau."
C'est Louis Crusol qui a la mission de médiateur dans ce dossier. Il espère lui que pour le bien des consommateurs martiniquais, ce problème sera réglé au plus tôt.
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A l'occasion des cérémonies du 11 novembre, la ville du Lamentin a voulu mettre à l'honneur Raphael Elizé un lamentinois qui a participé aux deux guerres (14-18 / 39-45) et qui est mort la veille de la libération en 1945.
Raphael Elizé est l'un des premiers métis - antillais maire de France métropolitaine. L'histoire le retient comme le premier même si concrètement le premier métis maire d'une commune en France était Louis Guizot en 1790, fils d'un Notable français et d'une esclave de Saint-Domingue.
Raphael Elizé, né au lamentin, vétérinaire de profession a été maire de Sablé sur Sarthe et a désormais une rue qui porte son nom dans la commune dans laquelle il est né.
Le maire du Lamentin, Pierre Samot revient sur les raisons de la dénomination de cette rue ci- après :
Plusieurs membres de la famille sont venus au Lamentin assister à cette cérémonie. Ecoutez ci-après Raphael Jean-Charles un petit-neveu de Raphael Elizé :
Ce mercredi matin vers 7h15, un grave accident s'est produit sur la route des Mamelles. Un choc frontal entre deux véhicules légers qui a fait un blessé assez sérieux, un pompier qui rentrait de sa garde. Selon les premiers éléments, ce dernier aurait perdu le contrôle dans une courbe. Il a étéévacué par hélicoptère, avec de multiples blessures. La conductrice en face qui se rendait au travail à Jarry, s'en sort avec quelques contusions.
Et un autre accident grave s'est produit vers 10h30 à Bouillante, un choc là aussi frontal mais cette fois ci entre une voiture et un deux-roues. Le motard âgé de 20 ans a été pris en charge puis héliporté polytraumatisé vers le CHU.
La Martinique joue sa première carte ce mercredi soir à Montego Bay contre la Jamaïque. Cette rencontre s'effectuera dans le carde de la phase finale de la Coupe des Nations de la Caraïbe. La seconde rencontre du groupe B verra Haïti affronter Antigua.
Mardi soir, en ouverture de compétition dans le groupe A la Guyane a fait match nul avec Cuba (1 but partout). L'équipe de Trinidad de son côté a défait Curaçao sur un score de 3 à (...)
Le 11 novembre ne marque pas seulement l'armistice de la première guerre mondiale. Pour les catholiques antillais et guyanais de l'Hexagone, c'est aussi le jour de la grande messe annuelle qui les rassemble en l'église Saint-Suplice, à Paris.
Comme les années précédentes, les fidèles étaient à nouveau des milliers pour la cérémonie célébrée notamment par l'archevêque de Martinique, Mgr Méranville et les évêques de Guyane et Guadeloupe, Mgr Lafont et Mgr Riocreux.
Le thème choisi était celui de l'engagement des jeunes. A cette occasion, plusieurs d'entre eux ont partagé leurs expériences avec l'assistance. Séminariste, dernières JMJ, compatibilité entre engagement politique et chrétien... "Ce n'est pas un fardeau d'être un jeune catholique aujourd'hui, il y a un cliché de religion poussiéreuse mais cela bouge, c'est dynamique !", a confié Emmanuelle au micro de RCI Paris.
A la fin de la messe, chaque célébrant a donné des nouvelles des diocèses des Antilles-Guyane. Si Mgr Riocreux a évoqué les vocations, Mgr Méranville a choisi de revenir sur l'affaire qui a secoué la Martinique en février dernier. L'archevêque a apporté de nouveau son soutien à son ancien vicaire général, aujourd'hui en poste à Paris. "Les choses se sont calmées aujourd'hui et je tiens publiquement à remercier Jean-Max Renard à qui on ne pouvait adresser qu'un seul reproche, celui d'exercer l'office que je lui avais confié avec beaucoup de rigueur, de conscience professionnelle et de générosité. Beaucoup de choses se disent, beaucoup de ragots. Avec la langue, vous savez qu'on peut tuer, on démolit beaucoup de choses", a lancé Mgr Méranville.
A mi-parcours de cette Route du Rhum-Destination Guadeloupe, Pierre Brasseur sur son bateau Matouba pointe à la 5ème place. Serein, il espère bien rester aux avant-postes de la flotte des Class40, toujours emmené par Alex Pella.
90 miles séparent Pierre Brasseur de Thibault Vauchel Camus 3ème. Damien Seguin est toujours 9ème, Rodolphe Sepho profite du bord plein sud de Juliette Petres et de Jean Galfione pour s'installe à la 23ème place, Dominique Rivard est 26ème, alors que Philippe Fiston pointe 27ème et que Nicolas Thomas 32ème, ferme la marche.
Du côté de la Class Rhum
Position inchangée pour Willy Bissainte et Luc Coquelin. Ils sont respectivement 5ème et 14ème au dernier pointage à 13 heures, heure de Guadeloupe.
Un personnel en sous effectif, une prise en charge des patients inefficace... le centre intégré de la drépanocytose situé au centre hospitalier de Mangot Vulcin au Lamentin connaît de nombreux dysfonctionnements. Selon le personnel cette situation perdure depuis de nombreuses années.
Selon le personnel en place, depuis 2005 les problèmes s'accumulent au centre intégré de la drépanocytose de l'hôpital de Mangot Vulcin. Un seul médecin gère 780 patients atteints de drépanocytose à l'heure actuelle dans ce centre où normalement 4 médecins se relaient. Ce médecin a d'ailleurs fait valoir son droit de retrait ce mercredi matin. Aucune prise en charge effective n'est donc effectuée dans ce centre pour drépanocytaires aujourd'hui. Seul le personnel soignant travaille.
Le docteur Gylna Loko, responsable du centre de la drépanocytose adulte à Mangot Vulcin nous en dit plus ci-après :
En savoir plus sur la drépanocytose ici.
L'ensemble du personnel hospitalier de l'hôpital de Saint-Pierre est actuellement en grève.
Ce mouvement de grève est à l'initiative du syndicat CGTM Santé de la section de Saint-Pierre. Leurs revendications concernent leurs conditions de travail. Certains agents ne touchent plus leur prime de 40%, la climatisation est défectueuse depuis 3 ans, plusieurs agents seraient victimes de harcèlement... entre autres.
Une grande partie du personnel de l'hôpital est en grève depuis ce mercredi matin. Un service minimum est assuré, par conséquent les patients sont à l'heure actuelle pris en charge normalement.
Selon le syndicat CGTM Santé de la section de Saint-Pierre, un membre du personnel soignant a déjàété victime d'un accident de la route suite à ces nombreux dysfonctionnements au sein de l'hôpital.
Le personnel est rassemblé devant l'hôpital. Tous, espèrent pouvoir rencontrer la direction de l'hôpital rapidement.
Comme chaque 11 novembre, une cérémonie s'est tenue mardi en hommage aux soldats d'Outre-Mer morts pour la France, sur l'Esplanade des Villes "Compagnon de la Libération", dans le IVème arrondissement de Paris.
Des gerbes de fleurs ont été déposées, une minute de silence a été respectée avant plusieurs prises de parole.
"Dans les temps que nous vivons de repli sur soi, c'est important de ne pas oublier que ce qui fait que nous sommes libres aujourd'hui, ce sont les hommes et femmes venus de tous les océans pour défendre leur patrie", a rappelé la déléguée interministérielle à l'égalité des chances des français d'Outre-mer, Sophie Elizéon.
Selon la revue historique des armées, on estime à 16 880 le nombre d'antillais et guyanais dirigés vers les zones des armées entre 1914 et 1918.
C'est un homme tour à tour, commerçant, comédie, chroniqueur sportif, qui nous quittés ce mercredi en début de soirée.
Roger Tannous, qui avait entre autres joué dans la pièce de Patrick Soulez "Divorce à domicile", est décédé des suites, semble-t-il, d'un malaise à Destreland. L'homme rendait visite à un ami commerçant lorsqu'il s'est effondré. Les secours n'ont rien pu faire pour le réanimer.
Les hommages se multiplient ce jeudi : "Jacques Gillot salue la mémoire d'un homme dont la générosité et l'humanité n'avaient d'égal que le talent et la permanente jovialité.
Commerçant, homme de culture et comédien, grand amateur de sport et supporter invétéré de la Red Star, Roger TANNOUS était un travailleur infatigable, un « self made man » d'une grande sensibilité, un homme de cœur qui distribuait le bonheur avec les innombrables blagues dont il était friand.
Il est rare de voir des hommes faire l'unanimité par leur gentillesse, leur simplicité et leur amour des autres ; Roger TANNOUS était de ceux-là, un homme de bien tout simplement."
Les dockers affiliés au Syndicat des Travailleurs du Port de Fort-de-France sont en conflit avec leurs employeurs(notamment les sociétés de manutention) depuis le 2 octobre 2014.
Pour rappel les dockers réclament le versement d'une prime en fin d'année qui a été supprimée voilà 4 ans déjà. Depuis le début du conflit, trois navires-rouliers transportant des véhicules n'ont pu décharger leur chargement à l'hydrobase.
Du côté négociations, il n'y a pas vraiment eu d'avancées. Lundi, grévistes et patrons ont été reçu séparément par le président du conseil régional. Mais depuis il n'y a pas d'avancées.
Pour l'heure, ce conflit inquiète les sociétés de transport de véhicules.
Un navire roulier de la société Hoegh Autoliners France doit faire escale ce samedi 15 novembre en Martinique. On ignore pour l'instant s'il pourra décharger.
Mercredi, Luc Massaux, le président d'Hoegh Autoliners France le leader mondial de service de transport de véhicule, a lancé un ultimatum : si aucun accord n'est signé dans ce conflit aujourd'hui jeudi 13 novembre, le prochain navire de la société transportant des voitures qui doit partir la semaine prochaine du Havre, annulera tout simplement son escale en Martinique.
Pour Jean-Michel Jean-Baptiste, secrétaire général du Syndicat des travailleurs du port de Fort-de-France, c'est aux patrons de rassurer les sociétés de transports de véhicules.
De plus il affirme vouloir retourner au plus vite à la table des négociations.Il nous explique ci-après :
Pour bien comprendre à quel point la situation est compliquée pour cette société, il faut d'abord savoir qu'Hoegh Autoliners, ce géant du transport de véhicules par navires rouliers fait escale aux Antilles depuis 18 ans déjà. Aussi, tous les 15 jours environ, l'un de ses navires accoste chez nous. Au total, cela représente environ une vingtaine d'escales par an en Martinique.
Ce samedi 15 novembre le Béjin, est attendu à Fort-de-France. Mais on ignore si ce navire qui transporte 778 voitures pourra être déchargé. Seuls les véhicules légers ont été embarqués mardi dernier. Les pick-up et les véhicules lourds sont restés au Havre.
Face au mouvement de grève des dockers Luc Massaux, le président d'Hoegh Autoliners France, a dû prendre des mesures. Le 23 octobre dernier, l'un des navires de la flotte, le Singapour n'avait pu décharger ses véhicules à Fort-de-France en raison du mouvement. Le bateau qui transportait 826 véhicules avait alors dû repartir vers la Guadeloupe où les voitures sont toujours en attente.C'est pour cela que Luc Massaux a lancé un ultimatum aux différents acteurs du conflit.
Ce conflit à l'hydrobase de Fort-de-France a des impacts pour la compagnie maritime. Des répercussions logistiques en premier lieu, mais cela entraîne aussi un surcoût : 30 à 50 000 dollars par bateau qui serait répercuté en partie sur le réceptionnaire.
Pour rappel la sociétéHoegh Autoliners France avait déjà dû faire face à un conflit du même genre à l'hydrobase en 2013, et pour son président, le port de Fort-de-France reste le plus problématique de toute la rotation de sa flotte.
La grogne grandit dans le secteur de la santé en Martinique ! Ce jeudi, c'est le personnel du centre hospitalier de Trinité qui devrait se mobiliser.
Les syndicats SASM et UGTM ont déposé un préavis de grève qui est entré en vigueur aujourd'hui jeudi 13 novembre 2014, à 7 heures du matin ! Après un premier débrayage le 7 novembre dernier, les agents souhaitent être entendus sur la question de l'accessibilité aux soins pour les usagers du Grand Nord.
C'était prévu, c'est confirmé, la fin de la mission de Marcelle Pierrot chez nous en qualité de préfète a été actée mercredi en conseil des Ministres. Sur proposition du Ministre de l'intérieur, c'est Jacques Billant qui a été désigné pour prendre sa succession à la préfecture de Basse-Terre. Jacques Billant qui était jusqu'ici préfet de Dordogne. Un poste qu'il occupe depuis 2011, il était auparavant préfet de l'Ariège depuis juillet 2009.
Licencié en science économiques à la faculté de Rennes, il est diplômé de l'école militaire de Saint-Cyr. Préparéà l'enseignement militaire supérieur : options sciences de l'homme, il est diplômé d'état major, sur le terrain militaire, il s'est notamment illustré en tant que commandant de compagnie du Génie, il a gagné en 1993 ; le théâtre d'opérations de la poche de Bihac dans l'ex-Yougoslavie, dans le cadre de l'intervention onusienne.
Homme de terrain
Il se définit comme un Préfet de terrain. Avant la Dordogne, il a alterné de multiples missions territoriales et en administration centrale, souvent en tant que directeur ou chef de cabinet. En 2008, il a été le dernier chef de cabinet d'une certaine Rachida Dati, alors Garde des Sceaux.
