
L'étude, dont le Centre d'écologie fonctionnelle et évolutive à l'Université de Montpellier est le principal auteur, évoque 137 aires protégées sur ces 78 sites, dans 34 pays, devant être placées, selon les scientifiques, comme "irremplaçables".
Ensemble ces sites abritent la majorité des populations de plus de 600 espèces d'oiseaux, d'amphibiens et de mammifères dont la moitié sont menacées.
Or, la moitié de ces aires protégées ne sont pas classées dans le Patrimoine Mondial de l'UNESCO, cette classification à tous assurerait "une protection plus efficace", selon l'auteur de l'étude.